Critique de Adrian Darmon Historien d'art
Vague folle sous un ciel d'été...
Sable chaud d'une plage désertée...
Jeune fille rêveuse au bord de l'eau...
Deauville, Cabourg, Saint-Malo...
Qu'importe puisqu'on s'évade d'emblée
Au gré des couleurs assemblées
Par la poésie pure de Michèle Thomas
Qui rappelle Hokusaï et son Fujiyama
Alors que ses portraits flirtent avec Matisse
A qui elle adresse un clin d'oeil subreptice.
L'art onirique de Michèle est fait pour rêver.
Harmonieux et suggestif, on ne peut que le révérer...
Adrian Darmon Historien d'art