Critique de Adrian Darmon Historien d'art

Vague folle sous un ciel d'été... 

Sable chaud d'une plage désertée...

Jeune fille rêveuse au bord de l'eau... 

Deauville, Cabourg, Saint-Malo...

Qu'importe puisqu'on s'évade d'emblée

Au gré des couleurs assemblées

Par la poésie pure de Michèle Thomas

Qui rappelle Hokusaï et son Fujiyama

Alors que ses portraits flirtent avec Matisse

A qui elle adresse un clin d'oeil subreptice.

L'art onirique de Michèle est fait pour rêver.

Harmonieux et suggestif, on ne peut que le révérer...

 

Adrian Darmon Historien d'art



16/11/2009
0 Poster un commentaire

A découvrir aussi


Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 56 autres membres